09 Sep Un velouté de betterave délicieux et original
Souvent, on se demande que faire avec des betteraves, surtout quand elles sont fraîches. Pour changer des salades, voici une recette facile et délicieuse de velouté de betteraves. Je vous invite à les déguster froide, avec de la menthe ou du basilic, accompagnée de tranches de bon pain avec ou sans gluten. Cette préparation conviendra également aux personnes mangeant sans gluten et sans lactose, en choisissant bien sûr les ingrédients appropriés.
Ingrédients pour 2 personnes (qui aiment beaucoup la soupe) ou 4 personnes (qui la dégustent en entrée)
- 4 belles betteraves bio cuites ou fraîches (dans ce cas-là, coupez leurs fanes, rincez-les et faites-les cuire à l’autocuiseur pendant 30 minutes, sans les peler. Vous les pèlerez au moment de les couper en morceaux)
- Astuce anti-gaspillage : utilisez les fanes des betteraves pour préparer une soupe.
- 1 oignon rouge bio
- 2 cuillères à café d’huile d’olive
- 1 cuillère à soupe de tamari bio (sauce soja japonaise sans gluten)
- 1 bouillon cube de volaille ou de légumes bio (on en trouve sans gluten dans les magasins bio ou sur internet)
- 500ml d’eau bouillante
- 10cl de crème fluide légère bio (vous pouvez utiliser de la crème de riz spéciale cuisson si vous mangez sans lactose)
- Sel et poivre
Epluchez l’oignon rouge et coupez vos betteraves en morceaux (en faisant bien attention de ne pas vous tacher).
Dans une sauteuse, faites revenir l’oignon rouge dans l’huile d’olive chaude.
Ajoutez les morceaux de betterave. Faites-les cuire à feu doux pendant 5 minutes, après avoir remué.
Préparez votre bouillon de volaille ou de légumes avec le bouillon cube et l’eau bouillante. Versez-le dans la sauteuse.
Salez, poivrez et ajoutez le tamari.
Laissez cuire 15 minutes.
Mixez avec un mixeur vertical.
Ajoutez la crème, remuez le tout, sans la faire cuire. Ajustez l’assaisonnement et laissez refroidir.
Servez froid avec des feuilles de menthe ciselée par exemple.
Si vous avez aimé cette recette, n’hésitez pas à me laisser un commentaire.
Crédit photo : Caroline Générosi-Herpin
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