Une soupe originale aux maïs et quinoa

23 Fév Une soupe originale aux maïs et quinoa

Aujourd’hui, on se régale avec cette soupe originale aux maïs et quinoa. Une fois de plus, j’ai privilégié la cuisine du placard car cela permet de préparer un plat savoureux rapidement. J’espère que vous apprécierez comme moi le mariage réussi entre le maïs et le quinoa. Personnellement, j’ai relevé cette préparation végétarienne avec du piment d’Espelette, je trouve que cela lui donne un petit coup de fouet très agréable. Elle conviendra aux personnes sans gluten et sans lactose, en utilisant les ingrédients appropriés.

Ingrédients pour 2 personnes :

• 150g de maïs bio, garanti sans OGM
• 1 carotte bio
• 200g de quinoa bio cuit
• 200ml de coulis de tomates bio
• 100g de poivrons rouges grillés et pelés (j’ai utilisé ceux en bocal du Pays basque que je trouve très bons)
• 1 oignon rouge bio
• 3 gousses d’aïl bio
• 1 cuillère à café d’herbes de Provence
• 300ml de bouillon préparé avec 1/2 bouillon cube bio (ou 1 cuillère à soupe de bouillon en poudre sans gluten)
• 3 brins de coriandre bio
• 2 cuillères à café d’huile d’olive
• 1 cuillère à café de tamari bio (sauce soja japonaise sans gluten)
• 1 pointe de piment d’Espelette
• Du poivre

Egouttez le maïs et les poivrons. Coupez ces derniers en lanières.

Rincez la carotte et supprimez-en les parties dures. Vous n’avez pas besoin de l’éplucher si elle est bio. Coupez-la en rondelles, puis en 4.

Epluchez et dégermez l’oignon rouge et l’aïl. Emincez le premier et coupez le second en petits dés.

Ciselez la coriandre.

Dans une casserole, faites dorer l’oignon et l’aïl dans l’huile d’olive chaude, à feu moyen.

Ajoutez le coulis de tomates, le maïs, la carotte, le quinoa, les poivrons, les herbes de Provence, le poivre, le piment, les 2/3 de la coriandre et le tamari.

Recouvrez avec le bouillon.

Laissez cuire pendant 25 minutes.

Servez dans de jolies assiettes creuses et répartissez sur votre soupe le reste de coriandre.

Si vous avez aimé cette recette, n’hésitez pas à me laisser un commentaire.

Crédit photo : Caroline Générosi-Herpin